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Le rideau de fumée écologique…

Le rideau de fumée écologique…

Dans son livre La Guerre des Métaux Rares, le journaliste Guillaume Pitron dévoile la face cachée de la transformation énergétique et numérique « écologique » vers laquelle se dirige notre société. 

Alors que la révolution industrielle du XIXe siècle reposait sur le charbon pour la propulsion des machines à vapeur et celle du XXe, sur le pétrole pour alimenter les moteurs à combustion, la « transition écologique » du XXIe siècle dépend d’une trentaine de métaux rares, dotés d’extraordinaires propriétés magnétiques, conductrices et autres, qui forment le cœur de notre révolution actuelle axée sur l’énergie numérique et renouvelable.

Mais le journaliste soulève un gros problème. Ces métaux rares ne sont présents qu’en très faibles quantités. Leur extraction nécessite, en outre, un raffinage considérable : il faut purifier 8 tonnes de roche pour produire un kilo de vanadium, 50 tonnes pour un kilo de gallium, 1 200 tonnes pour un kilo de lithium. Elle nécessite donc de purifier d’énormes quantités de roche et de les dissoudre dans de puissants produits chimiques. L’étude de Pitron l’a amené au Congo, en Mongolie et dans des régions de Chine où sont produits bon nombre de ces éléments terrestres rares. Il y a vu de grands lacs pollués par les raffineries, des enfants contraints d’effectuer un travail dangereux et un taux de cancer effroyablement élevé au sein de la population locale.

La fameuse « transition propre et écologique » basée sur l’énergie solaire, les éoliennes et les voitures électriques repose, en fait, sur une exploitation non réglementée des métaux rares, qui détruit la nature et empoisonne les habitants de contrées lointaines dont on parle très peu dans les médias.
Et ces dommages environnementaux ne vont que s’aggraver, estime Pitron. Notre « transition écologique » nécessite que la production de métaux rares double tous les 15 ans. Dans les 30 prochaines années, nous allons extraire plus de minerais de la croûte terrestre que nous l’avons fait au cours de 70 000 dernières années sur notre planète ! Le problème : les technologies énergétiques prétendument durables sont basées sur l’exploitation de métaux rares qui ne constituent pas une source renouvelable. Conclusion du journaliste : la véritable prise de conscience environnementale consiste à maximiser le recours aux sources naturelles renouvelables et à réduire l’utilisation de matières premières qui ne le sont pas.

Plus on s’interroge sur la « transition écologique », plus la fourrure apparaît comme une alternative naturelle. Le choix de matières naturelles comme la fourrure est celui qui, à long terme, aura le moins d’impact sur l’environnement, étant donné qu’il s’agit d’un produit issu de la nature, qui finira par y retourner sans laisser de traces.